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Zhuang
Avec une population de quelque 15 millions de personnes, les Zhuang forment l'ethnie la plus populeuse de Chine. La plupart de ses membres vivent dans la région autonome zhuang du Guangxi, dans le sud-est de la Chine, province qui couvre à peu près la superficie de la Nouvelle-Zélande. Les autres habitent dans les provinces du Yunnan, du Guangdong, du Guizhou et du Hunan. Il n'y a qu'au Guangxi où les Zhuang vivent en communautés compactes.
La zone d'habitation des Zhuang est sillonnée de plans d'eau qui offrent l'eau nécessaire à l'irrigation, la navigation et l'hydroélectricité. En outre, la zone côtière du Guangxi possède d'importants ports et offrent beaucoup de produits marins, dont d'excellentes perles. Le climat y est doux, avec une température moyenne annuelle de 20 °C. La végétation y est toujours verte et fleurit en toutes saisons. Les précipitations sont abondantes et assurent de bonnes récoltes de riz, de maïs, de canne à sucre, de banane, de longane, de litchi, d'ananas et de mangue. Le sapin et le camphrier poussent généreusement dans les forêts. Les ressources naturelles comprennent, entre autres, du fer, du charbon, de l'or, du cuivre, de l'étain, du manganèse, de l'aluminium, du zinc et du pétrole. La région est également riche en thé, champignons, cannelle et pseudo-ginseng.
Histoire socio-économique des Zhuang est le nom que les ancêtres de cette ethnie se sont donné. Ce mot a été enregistré une première fois, il y a un millénaire, durant la dynastie des Song. Toutefois, les Zhuang utilisaient une dizaine de noms différents.
La région des Zhuang est principalement agricole, mais la sylviculture a également contribué au développement d'une industrie moderne.
Le tambour en bronze, un vestige typique des ethnies minoritaires de la Chine du Sud, remonte à plus de 2 000 ans. Le Guangxi en recèle à lui seul plus de 500, et tous ont des formes et des motifs différents. Le plus gros a plus d'un mètre de diamètre; le plus lourd pèse plus d'une demi-tonne, alors que le plus léger ne pèse que quelques dizaines de kilogrammes. Le dessus et les côtés sont ornés de motifs en relief. Jusqu'à maintenant, les explications sur l'usage de ces tambours diffèrent. Certains croient qu'ils servaient à l'exécution de musique militaire, d'autres rétorquent que c'était pour la musique folklorique, alors que d'autres croient qu'ils servaient à des rites religieux ou symbolisaient le pouvoir et la richesse.
Légendes et ballades forment le cadre de la littérature populaire qui est réputée pour ses chants. Partout dans la région des Zhuang on peut entendre chanter. On y a recours aux métaphores et aux devinettes pour ajouter de la vie. On dit que, durant les Tang, une chanteuse zhuang appelée Troisième Sœur était connue non seulement en raison de ses chansons mais particulièrement parce qu'elle osait exprimer la cruauté des tyrans locaux. Autrefois, les communautés zhuang tenaient souvent des festivals de chants. À ces occasions, les jeunes se rassemblaient dans leurs plus beaux atours pour se rencontrer et se trouver un partenaire par l'entremise de leurs chants.
Les instruments de musique courants comprennent le suona (cor chinois), le tambour en bronze, la cymbale, le gong, le sheng (instrument à vent), le xiao (flûte droite), le di (flûte traversière) et le huqin (violon chinois) fabriqué avec des os de chevaux.
Les danses zhuang se caractérisent par des thèmes originaux, leur vigueur et des pas agiles, des gestes humoristiques et l'expression d'émotions naturelles. Elles décrivent non seulement la vie des Zhuang, mais aussi leur nature directe et inflexible. Finalement, l'opéra zhuang combine la littérature populaire, la musique, la danse et d'autres formes artistiques qui tirent leur origine des rites religieux des Tang.
Les Zhuang ont certaines fêtes qui leur sont propres: la fête du Diable, la fête de l'Âme du bétail et la fête de la Bombance. La première, qui se célèbre habituellement en août du calendrier grégorien, est la fête la plus importante après la fête du Printemps. Ce jour-là, chaque famille prépare du poulet, du canard et du riz glutineux à cinq couleurs pour les offrir en sacrifice aux ancêtres et aux esprits. La deuxième fête suit le labour du printemps. À cette occasion, chaque famille apporte un panier de riz glutineux à cinq couleurs et de l'herbe fraîche dans l'enclos du bétail. Après un bref rite sacrificiel, elle donne l'herbe à manger au bétail et la moitié du riz. On croit que le bétail a perdu son âme durant la période du labour parce qu'il s'est fait fouetter, et que ce rite la fera revenir. La fête de la Bombance est célébrée seulement par les Zhuang qui demeurent près de la frontière du Vietnam. Selon une légende, des soldats zhuang qui avaient repoussé les envahisseurs occidentaux à la fin du XIXe siècle seraient revenus trop tard et auraient manqué la fête du Printemps. Pour les honorer et célébrer leur victoire, leurs voisins auraient préparé une fête somptueuse à leur intention.
Zhuang Yao Miao Dong Bai Naxi Yi Dai
Tujia Bouyi Gelao Lisu Mosuo Jing Mandchoues
Shui Tibétain Maonan
La zone d'habitation des Zhuang est sillonnée de plans d'eau qui offrent l'eau nécessaire à l'irrigation, la navigation et l'hydroélectricité. En outre, la zone côtière du Guangxi possède d'importants ports et offrent beaucoup de produits marins, dont d'excellentes perles. Le climat y est doux, avec une température moyenne annuelle de 20 °C. La végétation y est toujours verte et fleurit en toutes saisons. Les précipitations sont abondantes et assurent de bonnes récoltes de riz, de maïs, de canne à sucre, de banane, de longane, de litchi, d'ananas et de mangue. Le sapin et le camphrier poussent généreusement dans les forêts. Les ressources naturelles comprennent, entre autres, du fer, du charbon, de l'or, du cuivre, de l'étain, du manganèse, de l'aluminium, du zinc et du pétrole. La région est également riche en thé, champignons, cannelle et pseudo-ginseng.
Histoire socio-économique des Zhuang est le nom que les ancêtres de cette ethnie se sont donné. Ce mot a été enregistré une première fois, il y a un millénaire, durant la dynastie des Song. Toutefois, les Zhuang utilisaient une dizaine de noms différents.
La région des Zhuang est principalement agricole, mais la sylviculture a également contribué au développement d'une industrie moderne.
Le tambour en bronze, un vestige typique des ethnies minoritaires de la Chine du Sud, remonte à plus de 2 000 ans. Le Guangxi en recèle à lui seul plus de 500, et tous ont des formes et des motifs différents. Le plus gros a plus d'un mètre de diamètre; le plus lourd pèse plus d'une demi-tonne, alors que le plus léger ne pèse que quelques dizaines de kilogrammes. Le dessus et les côtés sont ornés de motifs en relief. Jusqu'à maintenant, les explications sur l'usage de ces tambours diffèrent. Certains croient qu'ils servaient à l'exécution de musique militaire, d'autres rétorquent que c'était pour la musique folklorique, alors que d'autres croient qu'ils servaient à des rites religieux ou symbolisaient le pouvoir et la richesse.
Légendes et ballades forment le cadre de la littérature populaire qui est réputée pour ses chants. Partout dans la région des Zhuang on peut entendre chanter. On y a recours aux métaphores et aux devinettes pour ajouter de la vie. On dit que, durant les Tang, une chanteuse zhuang appelée Troisième Sœur était connue non seulement en raison de ses chansons mais particulièrement parce qu'elle osait exprimer la cruauté des tyrans locaux. Autrefois, les communautés zhuang tenaient souvent des festivals de chants. À ces occasions, les jeunes se rassemblaient dans leurs plus beaux atours pour se rencontrer et se trouver un partenaire par l'entremise de leurs chants.
Les instruments de musique courants comprennent le suona (cor chinois), le tambour en bronze, la cymbale, le gong, le sheng (instrument à vent), le xiao (flûte droite), le di (flûte traversière) et le huqin (violon chinois) fabriqué avec des os de chevaux.
Les danses zhuang se caractérisent par des thèmes originaux, leur vigueur et des pas agiles, des gestes humoristiques et l'expression d'émotions naturelles. Elles décrivent non seulement la vie des Zhuang, mais aussi leur nature directe et inflexible. Finalement, l'opéra zhuang combine la littérature populaire, la musique, la danse et d'autres formes artistiques qui tirent leur origine des rites religieux des Tang.
Les Zhuang ont certaines fêtes qui leur sont propres: la fête du Diable, la fête de l'Âme du bétail et la fête de la Bombance. La première, qui se célèbre habituellement en août du calendrier grégorien, est la fête la plus importante après la fête du Printemps. Ce jour-là, chaque famille prépare du poulet, du canard et du riz glutineux à cinq couleurs pour les offrir en sacrifice aux ancêtres et aux esprits. La deuxième fête suit le labour du printemps. À cette occasion, chaque famille apporte un panier de riz glutineux à cinq couleurs et de l'herbe fraîche dans l'enclos du bétail. Après un bref rite sacrificiel, elle donne l'herbe à manger au bétail et la moitié du riz. On croit que le bétail a perdu son âme durant la période du labour parce qu'il s'est fait fouetter, et que ce rite la fera revenir. La fête de la Bombance est célébrée seulement par les Zhuang qui demeurent près de la frontière du Vietnam. Selon une légende, des soldats zhuang qui avaient repoussé les envahisseurs occidentaux à la fin du XIXe siècle seraient revenus trop tard et auraient manqué la fête du Printemps. Pour les honorer et célébrer leur victoire, leurs voisins auraient préparé une fête somptueuse à leur intention.
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